Les filles...

Les filles ont toujours été complexes a décoder.

Il n'y a pas longtemps, j'ai essayé de draguer une fille isolée de ses parents. Je me trouvai allongé sur la plage, mon daron à mes cotés. Impossible de l'aborder. Et pour cause: elle regardait dans notre direction, mais dès que l'on se rapprochait d'elle, elle fuyait.

Cela me fait aussi penser à cette brunette de Giens qui m'avait harcelé de ses (beaux) yeux, mais je n'ai su l'interpréter... A son départ, en fin de journée, elle me laissa un regard appuyé en guise d'au-revoir.

Mais ce ne sont pas les expériences les plus intéressantes qu'il m'ait été donné d'avoir vécues. Je vais maintenant évoquer la relation la plus fascinante que j'ai essayé de prolonger, même si elle aussi s'est soldée par un cuisant échec.

Le 24 février, comme à mon habitude, je prenais mon train à destination de Marseille.
Voyageant à côté des autres enfants, je ne m'attendais pas à rencontrer une belle fille de mon âge. "Sur un malentendu", j'ai pu entamer une discussion avec la belle, qui a duré tout au long de notre trajet commun jusqu'à Marseille.
J'ai réussi a garder contact par SMS jusqu'au 13 mai où cette divine créature bascula subitement dans le clan des abonnées absentes. Peut-être est-ce une maladresse de ma part à l'écrit? Ou a-t-elle trouvé un autre correspondant plus à son goût?

Je dois dire que c'est, et de loin, l'approche féminine la plus stimulante traversée jusqu'alors. J'espère qu'elle est heureuse encore aujourd'hui, pendant que je rédige ces lignes.

à Lou...